Mes musiques préférées – Episode 1

On dit que la musique adoucit les mœurs. Nous en avons bien besoin en ce moment.

Sur le même principe que pour les films ou les livres préférés, sans réfléchir trop longtemps, M. Auger nous soumet quelques airs qu’il affectionne particulièrement pour nous accompagner jusqu’aux vacances et même après.

1- I needs to be bee’d with – par Count Basie (1965)

2- Message in a bottle par The Police (1979)

Vous apprécierez le look des années fin70’s-début 80’s !

3- Le sacre du printemps de Igor Stravinsky (Les augures printaniers – La danse sacrale) (musique et chorégraphie audacieuses pour l’époque – 1913 !)

4- Martial Solal

Bonnes découvertes et bonnes très prochaines vacances à tous.
S.J.

Through the gap

Pour continuer la découverte de différentes approches de la danse, après Pixel, voici Through the gap.

Un clip réalisé par RD Pictures avec deux magnifiques danseuses (Manon Divel et Chloé Neumuller). Vous reconnaitrez peut-être la ville et le château. Peut-être comme la première danseuse en avez-vous assez de la ville, de l’anonymat, du manque de contact, et rêvez-vous de vous échapper dans un monde parallèle , à l’instar d’une Alice au pays des merveilles.

Un monde fait de nature, de sensualité, de musicalité, de rythme, de contact.

La musique électronique et la chorégraphie sont indissociables dans ce premier vidéo clip de Manwarp, jeune musicien et producteur. Un rythme répétitif, presque hypnotique, parfois planant qui nous emmène dans un univers gestuel et musical qui enveloppe, apaise et élève.

L’ensemble est si cohérent qu’on ne sait si les mouvements donnent naissance à la musique ou si la musique inspire la chorégraphie. C’est comme si chaque note animait les corps et chaque mouvement provoquait des notes. Magnifique harmonie et très belle découverte !

Laissez-vous porter, et si vous aimez la musique électronique, allez découvrir l’univers de Manwarp.

S.J.

Les Impatientes – Goncourt des lycéens 2020

Le lundi, c’est lecture !

Lundi 30 novembre, le prix Goncourt des lycéens a été attribué à Djaïli Amadou Amal, écrivaine camerounaise pour Les Impatientes, un roman fort qui dénonce la condition des femmes en Afrique.

Le sujet souvent tabou de la polygamie, des mariages précoces et forcés et des violences conjugales n’a pas effrayé les lycéens qui ont su, avec beaucoup de maturité, reconnaître la subtilité de ce roman et l’engagement de son autrice.

(JOEL SAGET / AFP)

Une interview de Djaïli Amadou Amal ici. Elle y évoque sa vie, son militantisme et son combat pour les femmes du Sahel.

S.J.